Au moment où le pouvoir senferme dans les péripéties d'une prétendue "application de la Loi" (quelle Loi au juste ?) à lencontre des militants de la Liberté sociale, une loi dairain est en train de sappliquer, inexorablement, qui condamne, et les régimes particuliers que les militants de la Liberté sociale combattent certes et le régime dit générale de la Sécurité sociale : cest la Loi dairain du déficit.
La création du Fond de solidarité permettra au moins une chose : celle de faire comprendre plus clairement ce que coûte à la France sa sécurité sociale que le monde nous envie (comme il nous envie le Dr Garetta).
La dernière réunion semestrielle des la Commission des comptes de la sécurité sociale, seul organisme de "gestion" dun budget supérieur à celui de lÉtat infirme en effet les cocoricos de M. Bianco du mois de janvier, cocoricos que seuls pratiquement nous avons dénoncés dans ce bulletin. Nous avions donc raison et M. Bianco avait tort.
Il apparaît que limpossibilité daboutir à la maîtrise des dépenses de Santé condamne le système et que les trous peuvent être prévus, de manière encore assez optimiste, à hauteur des montants suivants :
1° Un trou de trésorerie de 35 milliards actuellement couvert de manière illégale par la Caisse des dépôts.
2° Une ponction sur la branche famille à hauteur de 11 milliards de Francs.
3° Un déficit de la vieillesse actuellement prévu pour 21 milliards.
4° Une dégradation des prévisions de la maladie.
5° Au total un besoin de financement immédiat égal dès maintenant à 1 point de CSG supplémentaire soit 37 milliards
Ceci veut dire que les prélèvements obligatoires menacent dêtre encore plus élevés lannée prochaine : autrement dit la cause du chômage va se trouver aggraver. Jusquoù ira-t-on dans la folie ?
Suffirait-il de réprimer les militants de la Liberté sociale pour résoudre le problème ?
Quel honneur vous nous faites ici MM. les partisans de la répression !
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