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BULLETIN EN TOUTE LIBERTÉ
mardi 16 MAI 2006
VOILÀ CE QUE L'ON COMMENCE À LIRE
Dans la France d'aujourd'hui, comme dans la Ferme des Animaux d'Orwell, doit-on considérer comme acquis et irréversible que "certains sont plus égaux que d'autres"?
Illustration ci-dessus : la traversée du Rhin par Turenne et ses cavaliers en 1672. Rien à voir, juste pour faire joli.
Je sais : ce n'est ni objectif, ni rassurant, ni rose.
Le fait bien réel, sociologiquement objectif celui-là, c'est que ce genre de textes de plus en plus significatifs, correspond à ce que semble ressentir un nombre grandissant de Français, voire, dans certains sondages, les intentions de vote.
Je répercute ici ces deux textes à mes lecteurs à titre de documents, espérant que ce que disent ces chroniques, puisse se révéler, au bout du compte, marginal, exceptionnel, monté en épingle : mais j'avoue n'être pas certain.
J'attends donc avec espoir la démonstration que tout va bien.
Dans un cas comme dans l'autre j'ai maintenu intégralement les textes que j'ai reçus : y compris les commentaires, car ils me semblent faire partie du phénomène.
Je ne prends pas ces commentaires à mon compte : quand par exemple le premier chroniqueur dit "avoir honte pour la justice" de notre pays, j'affirme au contraire que la législation et la réglementation sont ici en cause, beaucoup plus que la "justice", dont le rôle est d'appliquer les lois et les réglements. Or c'est la "loi", — terme sans doute un peu inflaté désignant la norme juridique hexagonale actuelle, — qui prétend contourner à la fois l'article 17 de la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 considérant la propriété comme "un droit inviolable et sacré" et distordre la définition de la propriété depuis le droit romain comme usus, fructus et abusus.
On me dira peut-être que l'origine de ces textes est elle-même sujet à caution : alors, que les grandes consciences, disposant de gros moyens d'investigation, enquêtent sérieusement ! S'il y a provocation, mensonge, détournement qu'on le démontre, et alors qu'on nous dise qui aurait éventuellement fabriqué ces informations (la CIA peut-être, on ne prête qu'aux riches, ou encore le FSB russe désireux de nous entraîner dans sa guerre de Tchétchénie, le général Rondot désireux de faire diversion, que sais-je encore ?)
Le premier document a déjà été repris par divers blogs, et il est bombardé par d'autres correspondants. Il semble venir d'un site internet que je connais mal, qui s'appelle France-Échos http://www.france-echos.com, et qui est manifestement atteint d'islamophobie, (ce qui devrait vouloir dire : crainte de l'islam), et cette source sera évidemment dénoncée comme telle – alors que la question n'est pas celle de la source mais de la vérité.
Une grand-mère condamnée pour discrimination
9 mai 2006, 11e chambre de la Cour d'appel de Paris. À l'appel de son nom, c'est une vieille dame âgée d'environ 90 ans qui se dirige péniblement à la barre, accompagnée d'une auxiliaire de vie. On lui fait avancer un fauteuil au plus près de la présidente tant elle parle faiblement.
La vieille dame est presque sourde et voit très mal, et a du mal à s'exprimer lorsqu'on lui demande de décliner son identité.
Quel crime odieux, quel acte infâme cette grand-mère a-t-elle commis ??? Elle a vendu sa maison, à un Alsacien…
Mais qui dépose donc plainte contre cette petite dame ?
C'est un résident d'Afrique du Nord qui, désirait acheter la maison de la vieille dame.
Cet étranger met en exergue le fait qu'il est venu à plusieurs reprises chez elle avec "le thé", qu'il l'a invitée a manger le couscous… et que la maison lui était donc due !!!
Mais voilà, seul petit bémol, la vieille dame n'a pas envie de vendre sa maison à un musulman car selon ses dires, les musulmans lui font peur et de vendre sa maison à un Alsacien fût chose faite !!!
Mais les lois de la république sont différentes de nos choix individuels. La vieille dame avait été condamnée en correctionnel à un mois de prison avec sursis et SOS racisme (qui bien sûr s'était constituée partie civile….) avait obtenu 1 euro d'indemnité… et avait renvoyé notre mamie en appel !
Cette fois-ci, ce n'est pas 1 euro que réclame le Maghrébin débouté en première lecture, mais plusieurs milliers d'euros…
J'observe les gens dans la salle, je vois deux jeunes femmes d'origine nord-africaine qui se réjouissent du sort de notre mamie.
Je continue mon tour visuel de la salle et j'observe les mouvements réprobatoires du gendarme de faction quant au traitement qu'on fait subir à notre grand-mère.
Un autre regard me fait constater que les nombreux avocats présents se sentent mal également.
La greffière n'ose pas lever le nez de son ordinateur, l'avocat général semble indifférent, la présidente du tribunal tente de garder son objectivité mais je sens bien que cette affaire la gène.
Soudainement, la vieille semble se tasser et on entend des sanglots et sa petite voix nous dire "pourquoi vous me faites ça ???", c'est trop pour moi, je dois quitter la salle de ma propre initiative de peur d'avoir une réaction de colère devant cette injustice.
J'ai un sale goût dans la bouche, le goût d'une société qui s'étrangle elle même, le goût d'une guerre que nous sommes en train de perdre.
J'ai honte pour la justice de mon pays.
Le second vient d'un ex-détenu.
On contestera une fois encore, et encore plus,la source.
Rappelons quand même que diverses affaires nous ont prouvé qu'en prison il y a aussi des innocents, et que de toute manière il s'agit d'êtres humains.
Témoignage laissé sur le blog http://www.fdesouche.com
Être blanc en prison par François Desouche, dimanche mai 2006 à 13 h 30
J'ai été incarcéré en 2003 à la prison de Toulon dans le Var pour une peine de 8 mois, je suis arrivé en plein ramadan, lors de mon entretien avec le directeur de la prison, celui-ci m'informe que la majorité des détenus sont arabo-musulmans et qu'il fallait être prudent, la fin du ramadan approchait et il craignait des violences.
Il m'a même fait plusieurs propositions de cellules en fonction du nom des codétenus afin que je choisisse la cellule qui me convenait le mieux ! J'étais donc en cellule avec deux Français (blancs), dès mon arrivée, ils m'ont tout de suite informé des tensions qu'il y avait en promenade, que plusieurs détenus avaient été victimes de racket et de violence par des Arabes et qu'il fallait éviter la promenade de l'après-midi car c'est celle où les Arabes sont les plus nombreux.
J'ai subi plusieurs tentatives d'intimidation de la part d'Arabes qui essayaient de m'imposer pour ma "sécurité" de leur procurer tabac, nourriture et vêtements ! Devant mes refus, j'ai été victime de harcèlement de la part d'autres détenus arabes qui prétendaient qu'une "fatwa" avait été lancée contre moi et que je n'allais pas tarder à "glisser" si je n'obéissais pas. Cela a duré un mois avant que je ne sois transféré à la maison d'arrêt des Baumettes (transfert de délestage).
En arrivant aux Baumettes, la première chose qui m'a frappé était le nombre de jeunes "barbus" en promenade avec tapis de prière à la main, regards haineux et qui interdisaient aux non musulmans une partie de la cour qu'ils considéraient comme leur appartenir !J'ai dans un premier temps été placé au premier étage du bâtiment D avec une majorité de clandestins et toxicomanes, nous étions seulement 8 blancs à cet étage sur plus de 100 détenus, on était régulièrement menacé pour du tabac, une boite d'allumettes, de la nourriture ou parfois sans raison si bien que nous n'achetions plus rien pour être certain de ne pas "provoquer" les racketteurs, et nous évitions de stationner dans les coursives. Certains évitaient même les douches en raison des menaces qu'ils subissaient ! La plupart des Français ne descendaient jamais en promenade et ne participaient à aucune activité sportive ou culturelle pour éviter d'être confronté à la violence et au racket.
J'ai ensuite obtenu une place pour travailler dans la prison ce qui m'a permis de changer de cellule et d'étage. L'ambiance était plus conviviale et les rapports avec les surveillants plus amicaux. J'ai plusieurs fois évoqué avec certains d'entre eux le problème de cohabitation qu'il y a avait entre les musulmans et les Français, l'un d'eux m'a affirmé que dans une autre prison du nord de la France ou il avait travaillé, les Français étaient contraints de se convertir à l'islam afin d'échapper aux racket et aux violences. Des surveillants m'ont avoué qu'ils ne parvenaient plus à contenir cette communauté qui devenait de plus en plus majoritaire et incontrôlable.
Ils m'ont appris que fut un temps, les Arabes étaient séparés des Français pour éviter les conflits mais que depuis peu cela n'était plus possible étant donné le nombre de place limité et la proportion trop important de détenus arabo-musulmans (50 à 80 %) !
En prison on vit au rythme des prières, dès 6 heures du matin, ils crient aux fenêtres pour appeler les autres à la prière, des textes en arabe circulent de cellule en cellule, des imams autoproclamés endoctrinent les musulmans "trop" modérés dès leur arrivée et tentent d'enrôler les Français de souche pour les inciter à se convertir. Pour cela ils utilisent le harcèlement moral avec la complicité des autres musulmans qui choisissent une cible et lui font vivre un enfer jusqu'à ce qu'elle accepte de se convertir. Une fois convertis, les problèmes ne s'arrêtent pas pour autant, ils doivent prouver qu'ils sont devenus de "bons" musulmans et doivent s'acquitter du Zakat (aumône) ce qui devient une nouvelle forme de racket que seul les convertis subissent ! Ceux qui ne se soumettent pas à cela font l'objet de "fatwa" et sont punis par la "charia" (les châtiments sont souvent improvisés).
Les surveillants ferment les yeux pour éviter les émeutes et se contentent de mettre au cachot ceux qui sont pris en flagrant délit de violence mais les raisons de ces violences ne sont jamais évoquées et la victime est elle aussi souvent sanctionnée !
Toutes les activités que propose l'administration pénitentiaire sont contrôlées par les Arabes, que ce soit le sport ou les activités culturelles, ce sont eux qui font la loi et dissuadent les Français d'y participer par la menace ou la violence. Même la messe du dimanche est perturbée par leur présence, si bien que très peu de Français y participent, d'ailleurs l'office est remplacé par un "dialogue" entre détenus, l'aumônier n'a aucune autorité sur eux ! Lorsque quelqu'un refuse de se soumettre à leurs règles, ils envoient les plus jeunes pour lui faire vivre l'enfer. Menaces, vols, violences, insultes deviennent les moyens les plus courants pour terroriser les détenus qui ne se soumettent pas à leur volonté ! J'ai même entendu parler de cas de viols !
J'ai été témoin de plusieurs actes de violence en groupe sur des Français uniquement en raison de leur non-appartenance à l'islam, ils inventent des faux prétextes comme un regard de travers, un vol ou une réputation de "balance" et ensuite se déchaînent sur leur victime qu'ils traitent de raciste, de mécréant, de porc, de balance….etc.
Lorsqu'il y a de nouveaux arrivants, les Arabes sont immédiatement intégrés alors que les Français sont "testés" et provoqués afin que les futures "victimes" potentielles soient repérées. Les plus faibles subissent d'entrée les vols, le racket, le harcèlement, les plus récalcitrants sont frappés et terrorisés ! Les insultes racistes à l'égard des Français sont tellement courantes que plus personne n'y prête attention, même les surveillants en sont victimes mais font la sourde oreille !Le plus difficile durant mon séjour, n'a pas été la privation de liberté mais la cohabitation avec les musulmans. Le racisme en prison prend des formes intolérables qui se résument par la violence, le racket et le harcèlement. Les victimes sont systématiquement blanches et les auteurs systématiquement arabes. Personne ne peut se confier, les surveillants sont eux-mêmes menacés et n'osent pas faire de reproches à certains détenus considérés comme des caïds (meneurs) et qui sont capables de provoquer des émeutes. Souvent cela se traduit par un refus de remonter en cellule à la fin de la promenade, ils appellent cela "bloquer la promenade". Les surveillants se soumettent à leur volonté pour éviter des ennuis et leur accordent tout ce qu'ils réclament.
De retour en liberté, je m'aperçois que la prison n'est qu'un concentré de la société française, les Français sont les principales victimes du racisme dans les quartiers à majorité musulmane, personne ne les dénonce de peur des représailles. Pour moi cela ne fait plus aucun doute, la France leur appartient, ils font ce qu'ils désirent en toute impunité, les peines de prison sont dérisoires par rapport aux actes commis et les conditions d'incarcération leur sont favorables !
J'ai ressenti une telle haine de leur part vis-à-vis de la France et des Français que je suis persuadé que si demain un quartier musulman décide de s'attaquer à un quartier français et de massacrer les habitants, personne ne sera en mesure de les en empêcher, rien ni personne en France ne garantit la paix et la sécurité…
J'espère que mon témoignage pourra aider les autres.
Si les journalistes et les répressifs (parties civiles, associations subventionnées, magistrature syndiquée, ligues de vertu, etc.) veulent désormais empêcher cette vague d'opinion et de témoignages de déferler dans les urnes à partir de 2007, ce n'est pas en réprimant un peu plus tel ou tel mauvais sentiment qu'ils feront reculer le flot protestataire, – tout ce qui a été fait dans ce sens depuis 20 ans n'a fait qu'exacerber les passions – mais plutôt en s'attaquant à la racine du mal qui est de plus en plus cette discrimination "à l'envers" que l'on affuble suivant les cas, des appellations hypocrites et mensongères de "communautarisme", de "discrimination positive" voire même de (prétendue) "lutte contre le racisme".
Je remarque en passant que, certes, la loi Gayssot a été votée par une majorité socialo-communiste, son rapporteur étant lui-même un des piliers du parti communiste. En son temps elle a été dénoncée par l'opposition, mais elle n'a jamais été abrogée.
Au contraire le pouvoir actuel vient de créer une Haute Autorité (quelle appellation ridicule) de "lutte contre les discriminations". Et il l'a confiée à un ancien très gros employeur de main-d’œuvre immigrée M. Schweitzer et toute son action s'inscrit résolument dans une logique invariante, issue de la Loi Pleven de 1971.
Le pouvoir actuel ne semble pas se rendre compte d'ailleurs que les gens les plus "discriminés" au sein de notre société sont désormais les Français, les (petits) propriétaires, etc.
Dans la France d'aujourd'hui, comme dans la Ferme des Animaux d'Orwell, doit-on considérer comme acquis et irréversible que "certains sont plus égaux que d'autres"?
JG Malliarakis
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