LES ENTRETiENS DE GEORGES LANE et FRANÇOIS GUILLAUMAT

Incitation à la haine sociale Lien permanent de cet enregistrement Si la Pseudo-Démocratie Socialiste ne reconnaît pas la qualification pénale  d'incitation à la haine et à la discrimination sociales”,  c’est parce qu’elle n’existe que par des mensonges de haine  et se définit par la discrimination sociale.
Le mensonge dont les Impôts de la Haine sont à la fois un effet et un moyen, c’est l’imposture  des prétendues “conquêtes sociales sur le dos des riches”, qu’il faut aujourd’hui crever pour pouvoir survivre.
Georges Lane et François Guillaumat exposent successivement :
- le double rôle de diversion des incitations à la haine sociale ;
- les illusions massives que celles-ci entretiennent,  et
- pourquoi  c’est maintenant qu’il faut supprimer les Impôts de la Haine.
RéférencesEmissions précédentes : La distinction nécessaire la plus méconnue du débat politique - "Discrimination", les trois avatars d'un mot-zombi - Une institution d'injustice : le prétendu service public - L'argent caché
→ Textes
: L’illusion fiscale - transcription de l’émission - Bertrand de Jouvenel : The Ethics of Redistribution - Pourquoi pas Bitur-Camember ? - Voleurs de pauvres
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La liberté d'expression Lien permanent de cet enregistrement À l’occasion d’une nouvelle loi de censure  envisagée  contre certains menteurs, Georges Lane et François Guillaumat  constatent trois choses :
– la Pseudo-Démocratie Socialiste prétend  “reconnaître la liberté d’expression” comme un “Droit de l’homme et du citoyen” mais c’est par nature  qu’elle la viole de toutes les manières possibles ;
– il n’y a pas d’autre Droit de l’homme que le Droit de propriété, dont le propriétaire a le Droit et le devoir de se servir  pour combattre le mensonge ;
– la censure explicite  de la Pseudo-Démocratie Socialiste  ne fait que refléter la tyrannie arbitraire des groupes de pression qu’elle est effectivement.
RéférencesÉmissions précédentes : "État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart" – "La censure est l'essence du socialisme" – "L’intégration forcée" – "Hans-Hermann Hoppe" – "Les pseudo élites judiciaires contre la justice naturelle"
Textes : Ayn Rand : "Les Droits de l'homme" – Murray Rothbard : "Les Droits de l’homme comme Droits de propriété" – Nathaniel Branden : "Le Vol de concepts" – Marko Attila Hoare : "De Nuremberg au Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie"

Nouvelles du coup d’État d'Obama Lien permanent de cet enregistrement Depuis près d’un siècle aux Etats-Unis les socialistes, ultraminoritaires, tentent de détruire  la Constitution de 1787 qui proscrit expressément leur esclavagisme absurdiste.
Après la période des amendements, celle des violations approuvées a posteriori par la Cour suprême, inaugurant une jurisprudence qui la contredit dans la lettre comme dans l’esprit, on voit aujourd’hui un exécutif illégal la bafouer ouvertement et de multiples manières.
Le parti Démocrate, traditionnellement raciste et désormais totalement socialiste, est l’auteur principal de ces crimes, avec la complicité des médias et celle de l’establishment du parti Républicain. 
Les prochaines semaines seront décisives.
RéférencesVidéo : "Newt's Highlights from South Carolina CNN Debate."
Emissions précédentes : "Nouvelles de la trahison" - "Les États-Unis deviendront-ils une pseudo-démocratie socialiste ?" - "La crise institutionnelle aux États-Unis" - "Le coup d'État contre l'assurance maladie aux États-Unis"
→ Textes
: Angelo Codevilla : "La caste dirigeante aux Etats-Unis – et les périls de la révolution" - Leo Donofrio, Esq.: "Minor v. Happersett Revisited" - Bob Unruh: "Judge whacks Obama in eligibility case".
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Les agences de notation Lien permanent de cet enregistrement François Guillaumat et Georges Lane s’interrogent sur l’origine des agences de notation, leurs procédés d’évaluation successifs, le crédit qu’on peut prêter à leurs interprétations, et la stratégie que l’on peut adopter face à leurs opinions.
RéférencesEmissions précédentes : Crise scientifique et crise intellectuelle ; Innovation, monnaie et réglementation ; Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire ; L’argent caché.
Textes: Frank Knight: "Risk, Uncertainty and Profit" ; Hans-Hermann Hoppe : "De la certitude et de l’incertitude ou : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ?" ; Frédéric Bastiat : "Harmonies économiques", chap. 12, Des salaires ; "Pourquoi pas Bitur-Camember ?".
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La "Taxe Tobin" Lien permanent de cet enregistrement La prétendue "taxe Tobin" vise à détourner une proposition ésotérique pour soi-disant "stabiliser" le marché  des changes à une époque bien révolue,  faite par un économiste qui a entre-temps obtenu le "prix Nobel",  afin d’en faire un nouvel  Impôt de la Haine :
-- dirigé contre les financiers dont les gens ne comprennent pas ce qu’ils produisent,
-- et dont il est trop facile de faire des boucs émissaires avec leur "spéculation",  comme s’il était possible de jamais s’en passer ;
-- impossible à imposer sans faire fuir à l’étranger l’activité ainsi taxée,
-- sinon par un État mondial dont ils rêvent peut-être, ruinant alors ce qui reste des marchés financiers.
RéférencesEmissions précédentes : "Le capitalisme, bouc émissaire du semi-esclavagisme d’État" ; "Le monétarisme" ; "De la certitude et de l'incertitude" ; "Qu’appelle-t-on les marchés financiers ?" ; "Hayek (1) : le théoricien de l'information".
Textes : Jean-Yves Naudet : "Reviens, Tobin, ils sont devenus fous !" ; Jacques Rueff : "Les erreurs de la 'Théorie générale' de Lord Keynes" ; Hans-Hermann Hoppe : "De la certitude et de l’incertitude : quelle peut être la rationalité de nos anticipations ?" ; Jacques de Guenin : "Comment Attac voit 'L'aide aux Citoyens' permise par le fruit de la taxe Tobin".
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La TVA antisociale Lien permanent de cet enregistrement Au lieu de s’attaquer aux Impôts de la Haine pour sortir de la crise budgétaire, le gouvernement ressort le vieux serpent de mer de la prétendue “TVA sociale”, laquelle ne ferait qu’aggraver l’absence de régulation des institutions “publiques” qui en est la cause, en les éloignant encore davantage d’un modèle de financement fondé sur la responsabilité.
Avec François Guillaumat, Georges Lane envisage d’abord les obstacles institutionnels éventuels à une telle entreprise, puis l’illusion de “reporter la charge” sur les consommateurs et les étrangers qui frappe ses partisans, enfin les spéculations politiques à court terme qui pourraient l’expliquer.

RéférencesÉmissions précédentes : Le protectionnisme, illusion fiscale ultime pour esclavagistes-absurdistes au désespoir ? Injustice et immoralité de l’inflation .
>→ Textes : L’illusion fiscale - transcription de l’émission ; Pascal Salin : L’illusion de la “TVA sociale” ; Georges Lane : “Dumping social et compétitivité” ; Voleurs de pauvres .
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Innovation monnaie et réglementation Lien permanent de cet enregistrement François Guillaumat invite  Georges Lane à présenter le dernier fruit de ses recherches, présentées au dernier  Séminaire d’économie autrichienne, sur la monnaie et la liberté des contrats  comme moyens d’abaisser le coût résiduel de l’échange.
L’analyse des concepts de la comptabilité  lui permet de contester la notion de “liquidité”  associée  la monnaie. La monnaie est un intermédiaire des échanges présents qui permet d’abaisser le coût des échanges,  comme le font les marchés organisés et plus généralement  l’innovation juridique des entrepreneurs.  Comme la règlementation aggrave le coût des échanges, détruisant la production, il y a une course-poursuite  entre innovation et règlementation,  qui conduit parfois à des résultats bizarres,  comme l’état actuel de la comptabilité  des banques,  qui ne prend en compte ni les effets de l’abandon de la convertibilité en or des monnaies,  ni certains instruments financiers.

Références : Émissions précédentesLe décalogue du charlatanisme ordinaire en économie 1 -- La prétendue “comptabilité publique” n’est pas une comptabilité -- Crise scientifique et crise intellectuelle -- La crise est d'abord une crise scientifique -- La régulation par l'Etat est impossible .
Textes : Pourquoi pas “Bitur-Camember” ? -- L’absurde théorie des prétendues “externalités” -- Alan Greenspan : "The Assault on Integrity".
→ Lien permanent de cet enregistrement

Peut-on instituer la démocratie en France Lien permanent de cet enregistrement François Guillaumat et Georges Lane se posent une question bien actuelle entre les "décisions européennes" et la "campagne présidentielle". Qui gouverne la France ?

Documentation de cet entretien

Présentation de l'entretien : Comme de plus en plus de gens  s’aperçoivent que la Caste Exploiteuse est trop irresponsable pour ne pas provoquer des catastrophes,  la question est ouvertement posée de savoir s’il serait possible de restaurer un certain pouvoir de décision du peuple sur les affaires qui sont les siennes.

C’est la définition d’origine de la démocratie qui, à la différence de celles de Maurras et de Hans-Hermann Hoppe,  implique clairement que la démocratie est incompatible avec le socialisme.

Une condition qui semble nécessaire pour empêcher la Caste Exploiteuse de gouverner contre  la majorité de l’opinion,  puis pour la contraindre à en rabattre sur ses usurpations,  c’est le referendum d’initiative populaire, associé  au referendum obligatoire.

Si on l’obtient,  on pourra,  contre le maintien d’une Caste Exploiteuse Permanente, instituer les sauvegardes dont les “démocrates” du XIXe siècle avaient sous-estimé  la nécessité : -- interdire  toute activité politique  aux Parasites Sociaux Institutionnels, qui vivent de l’impôt,  et en premier lieu  aux  fonctionnaires ;  l’interdiction de voter aux élections nationales faite aux résidents du District of Columbia par la Constitution des États-Unis,  ainsi qu’aux militaires sous la Troisième république,  sont des précédents mais dont l’expérience a montré l’insuffisance ; -- interdire toute subvention entre collectivités publiques ; -- remplacer les bureaucrates et les élus par des citoyens tirés au sort,  d’abord  en matière pénale,  puis législative  ; privatiser  toutes les décisions,  en interdisant les privilèges de monopole et de subvention aux prétendus “services publics”.

Références Émissions précédentes : Le salaire complet -- Voleurs de pauvres -- La démocratie contre le socialisme -- La prétendue “justice sociale” -- L’intégration forcée -- État minimum et anarcho-capitalisme : le grand écart -- Les pseudo-élites judiciaires contre la justice naturelle -- Le conflit d’intérêts -- Le prétendu “service public” : une institution anti-démocratique

Textes : Ludwig von Mises : Le Gouvernement Omnipotent -- Le pseudo-expérimentalisme -- Hans-Hermann Hoppe: L’ordre naturel, l’état et le problème de l’immigration -- L’absurde théorie des prétendues “externalités”

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